Salut, alors, moi, c’est Joris, j’ai la vingtaine. Je préfère ne pas donner trop d’infos sur moi des fois que ça finisse par se savoir auprès de ma direction mais… il m’est arrivé un truc… simplement improbable. Je me pince encore pour réaliser si je vis bien dans la réalité tellement c’était surréaliste. J’ai fini en soirée sexe avec une cliente de livraison !
Parce qu’en fait, voyez-vous, je travaille dans une pizzeria. Pas un gros restaurant, un petit établissement de province et il arrive assez souvent qu’il faille livrer. Souvent en soirée même. Dire que par le passé je m’en plaignais, j’aime autant vous dire que j’ai comme qui dirait reconsidéré mon jugement. J’ai déjà vu des histoires de sexe dans des cabines d’essayage ou le bureau du patron, mais jamais avec des livreurs de pizza !
Là, en lisant, vous vous dites que ça n’est pas possible, que, quand même pas…. eh bah si ! J’ai eu droit à la réception digne d’un film porno, le scénario du livreur respecté à la lettre. Moi, je suis sage comme tout à la base. Quand je vais chez les clients, je pense pas à mal, je livre et je me tire. Mais là…
Sexe avec une cliente : Je ne m’y attendais pas !
Elle avait peut-être la quarantaine, mais elle portait bien son âge. Et pas que ça. Il devait être 20 heures et, innocemment, elle m’ouvre la porte en peignoir. Je fais aucune remarque, je tends la pizza et je demande le paiement comme une truffe. Et elle donne pas assez.
«Ah non ?» Demande-t-elle avec une fausse candeur. Même qu’elle se mordait un peu la lèvre. Celle-là je me dis… elle veut de la bite. Mais bon, des fois qu’il y ait un malentendu et qu’elle en parle au patron, j’évite de me montrer trop entreprenant. Excité, certes… mais prudent.
Alors elle m’invite à entrer – et je rentrerai pas que chez elle croyez-moi – le temps qu’elle fouille dans son sac à main. Elle fait tout un cinéma, soi-disant qu’elle n’a pas retiré de liquide. Et puis, avec un air résigné et une intonation dans la voix qui laisse plus de place à l’ambiguïté, elle me lâche «On… on pourrait s’arranger pour le paiement, non ?…»
Là, j’ai bien compris qu’elle avait pas appelé pour la pizza. Vu que je suis pas très dégourdi ni trop entreprenant je tâte un peu terrain, je joue l’ingénu et je lui demande : «S’arranger comment ?». Mais au regard qu’elle me lance et le regard que je lui fais, on a tous les deux compris de quoi il en retourne. Et là, elle défait la ceinture de son peignoir. Je peux vous dire que j’ai commencé à me sentir à l’étroit dans mon caleçon. Des seins bien lourds, des hanches larges comme j’aime, enfin, la MILF rêvée avec ce qu’il faut où il faut. Au moins, maintenant, j’étais fixée : c’était une vraie rousse.
Soirée sexe avec une cliente : Elle n’a pas rigolé
J’ai pas attendu qu’elle m’envoie plus de signaux pour être bien sûr qu’elle me faisait des avance, là, de toute manière, je pouvais plus tenir. Et je voyais qu’elle se réjouissait que je succombe déjà et que je commence déjà à venir cramponner les mains autour de sa croupe pendant que je lui dévorais la gorge. Elle faisait moins l’innocente, je voyais bien son sourire de succube dessiné le long de ses lèvres. Des lèvres qui, bien assez tôt, ont fini par se nouer autour de mon chibre à l’agonie tant il était désireux de faire plus ample connaissance.
Y’avait aucune maladresse dans ses mouvements, elle savait ce qu’elle faisait la garce et le moindre coup de langue humide était calculé. Elle était vorace et j’ai bien cru que j’allais succomber d’emblée. Mais il était pas question d’arrêter aussi tôt. Ce genre d’occasion, ça se présente une fois dans une vie et j’entends bien en profiter. Alors je lui dis de se redresser. Et ça lui vient pas à l’idée de me contredire. Là-dessus, je lui dis de se retourner et je pose une main lourde sur ses omoplates pour qu’elle se penche devant le dossier du canapé qui nous fait face. Elle se cambre comme si tout son corps réclamait la sentence. Mouillée comme elle était, c’est rentré très vite et, surtout, très profondément.
Tant pis si les voisins ont entendu quand je la ramonais, mais je l’ai faite hurler de plaisir en lui administrant les coups de rein qu’elle réclamait comme une bonne chienne. La cyprine m’éclaboussait à un point pas permis, j’ai bien senti qu’elle était en manque et elle a bien senti que j’allais remédier à ça.
Ce serait romancer les choses que de dire que je lui ai fait l’amour, je l’ai simplement pilonnée pour profiter de la chatte qu’elle m’ouvrait dégoulinante. J’avais les mains cramponnées à ses épaules pendant que je la prenais pour mieux m’enfoncer. J’y ai été de bon cœur.
Quand j’en ai fini avec elle et que j’ai tout lâché, je lui ai juste mis une claque sur le cul avant de remettre mon futal et de partir les jambes flageolantes et la tête légère. Au final…. c’est moi qui lui ai payé sa pizza. Mais sans regret. En espérant qu’elle ait une fringale dans un avenir proche.