La soirée était arrosée plus que de raison, et les allusions au cul n’arrêtaient plus. Anthony et moi travaillions ensemble depuis quelques mois, et nous nous entendions bien. Sa femme et lui nous avaient donc invités à manger mon mari et moi pour une soirée. Nous avions amené du rhum, ils avaient préparés de la sangria et, soyons honnêtes, nous étions carrément bourrés.
C’était quand Tifanny s’était pris les pieds dans le tapis que tout avait dégénéré. Elle s’était retrouvée à quatre pattes par terre, les seins débordant de son décolleté. Les deux hommes étaient restés bouche bée (il faut dire qu’elle avait une énorme paire de seins), c’était donc moi qui l’avais relevée. Et qui avais remis sa poitrine dans son soutien-gorge. S’en étaient suivis tout un tas de commentaires sur les relations lesbiennes, auxquels j’avais répondu que j’aimais bien le sexe à plusieurs, le côte à côte, mais pas vraiment les rapports avec une autre femme. Et nous avions finalement vite compris que nous étions tous les quatre libertins.
L’alcool aidant, nous avions alors entamé une partie de strip-poker. Et soit nous étions nuls, soit nous étions tous très excités de la situation, car en à peine quelques tours de jeux nous étions tous les quatre nus autour de la table.
Tifanny m’avait alors lancé « On échange ? Je te prête le mien, et je prends le tien ». Un vrai début de récit libertin.
Sexe à plusieurs : Des culs, des queues
C’est assez naturellement que Tifanny et moi avions pris les choses en main. Nous avions installé nos deux hommes sur le canapé, côte à côte, et nous nous étions placées à genoux devant eux. Nous avions commencé par les masturber, histoire de les faire gonfler. Puis nous les avions léchés, tout au bout du gland, avant de les enfourner goulument. Leurs queues dressées dans nos bouches étaient un régal. Nous nous étions comprises d’un regard elle et moi, et c’est à leur grande surprise que nous avions échangé nos places. Et nous passions d’un homme à l’autre, l’une branlant la queue que l’autre léchait.
Nous sentions qu’ils n’allaient pas durer longtemps. Nous leur avions donc proposé d’échanger, histoire de laisser leurs sexes se reposer un peu. À notre tour, nous nous retrouvions cuisses indécemment écartées sur le canapé, les hommes sous nous. Leurs langues, leurs doigts… c’était nous maintenant qui ne savions plus où donner de la tête. Ils s’alternaient, une fois l’un, une fois l’autre. Leurs mains étaient habiles, nous faisant vibrer sans jamais dépasser la limite. Leurs doigts s’aventuraient toujours plus profondément en nous, et leurs mains se faisaient plus pressantes sur nos corps. J’avais les yeux fermés, centrée sur mes sensations, et j’étais bien incapable de dire qui me léchait en ce moment même. Une dinguerie ce sexe à plusieurs, je n’avais jamais vécu un échangisme comme cela.
Aucun de nous n’allait durer longtemps, mais j’avais encore envie d’autre chose. Quelque chose d’assez cochon.
Arrêtant Jérôme d’une main, je me levai et entraînai Tifanny avec moi. Nous nous installâmes sur la table, à quatre pattes, les fesses offertes à nos hommes.
Ils passèrent derrière nous nous pénétrer, s’alternant d’une chatte à l’autre. Cet échange était tellement excitant ! Un coup l’un, un coup l’autre. Leurs mains sur nos hanches, leurs doigts sur nos tétons. Tout cela allait vite, nous n’en pouvions plus. Je vis Tifanny commencer à se caresser, cherchant à se faire jouir. Alors, je demandai à celui qui était en moi d’aller plus fort et je commençai à faire de même. Nos fluides étaient mélangés, les gémissements se faisaient entendre en tous sens, nous prenions tous notre plaisir. L’un après l’autre ou tous ensemble, je ne sais pas, nous avions tous joui dans un grand sentiment de bien-être.
Et vive le rhum !