Je vois cette fille tous les matins au café d’en bas. Toujours à la même table, celle du fond un peu dans l’ombre. Elle me sourit quand je rentre et souvent j’essaye de me mettre pas trop loin d’elle, mais je n’ai pas encore osé l’aborder. Je ne dirais pas qu’elle est « jolie », je dirais qu’elle est « bandante » : avec ses décolletés plongeants et ses mini jupes à ras la foune, elle fait envie. « Elle ne porte pas de culotte, c’est sûr », je me dis souvent. Elle part souvent avant moi, et son cul se balance quand elle marche. Je lui mettrai bien la main aux fesses quand elle passe devant moi, et pas que la main d’ailleurs.
Ce matin-là, je m’installe sur la table juste à côté et je tente une approche digne d’un adolescent :
« Bonjour ».
« Bonjour. Il va faire chaud aujourd’hui », me répond-t-elle.
C’est la première fois que j’entends sa voix. Elle est très douce, sensuelle. Je ne sais pas quoi dire d’autre alors je m’assois en silence avec mon café.
D’habitude elle travaille sur son ordinateur, mais aujourd’hui elle n’arrête pas de me lancer des regards furtifs. Elle porte une robe d’été à fines bretelles qu’il suffirait juste de laisser glisser pour apercevoir sa poitrine… Elle n’arrête pas de croiser et décroiser les jambes, ce qui attire immanquablement mes yeux sur son entrecuisse et sa culotte rouge. C’est digne d’un vrai récit libertin.
Soudain, elle saisit la panière de croissant posée devant elle et me la tend :
« Vous en voulez un ? »
Elle s’est penchée au-dessus de sa table, et j’ai un aperçu direct sur son décolleté : elle ne porte pas de soutien-gorge ! Je vois sa poitrine libre qui retombe, j’ai très envie de saisir ses seins à pleine mains.
« Non merci, j’ai déjeuné ».
J’ai dit ça en bredouillant, en relevant les yeux vers elle. J’ai compris dans son regard : elle sait que j’ai tout vu. Et je suis sûr qu’elle l’a fait exprès.
Elle ne porte pas de culotte
Je retourne en silence à mon café, mal à l’aise. D’un coup elle se lève, passe très près de moi à m’en frôler, et disparaît pour revenir quelques minutes plus tard. Nouveau jeu de jambes et lorsque je regarde, la surprise est totale : elle ne porte pas de culotte, elle l’a enlevée !
Nous sommes dans un recoin du bar, très isolé. Les autres clients ne peuvent pas avoir d’aperçu sur nous sauf s’ils viennent s’installer à côté, mais en général ils restent au comptoir avec le patron.
Elle me regarde fixement, laissant courir un doigt sur ses lèvres. Ses cuisses s’écartent de plus en plus… Je n’arrive pas à y croire. Mon sexe se tend dans mon pantalon. Tout doucement, elle fait glisser son doigt le long de son cou, ses seins, son ventre, ses cuisses… Elle glisse jusqu’à son clito. Elle s’insère un doigt, le lèche, le rentre de nouveau… J’ai mal à la queue. Je défais ma ceinture, glisse ma main dans mon pantalon, commence à me caresser. Elle pince ses tétons à travers sa robe, je les vois pointer contre le tissu. D’une main, elle écarte les lèvres de sa chatte, m’offrant tout le spectacle de son sexe bien ouvert. Et de l’autre, elle continue de se pénétrer. Un doigt, puis deux… Et maintenant trois ! Quelle cochonne.
Je me caresse de plus en plus fort, je suis tout excité. Elle me regarde, se mord les lèvres, tout en se caressant le clito, à pleine main maintenant. Je suis hypnotisé par la scène. Elle doit être dilatée à mort, prête à se faire baiser. Elle se branle frénétiquement, moi aussi, et je la vois jouir dans un sursaut alors j’éjacule dans ma main à mon tour.
J’ai à peine le temps de me rendre compte de ce qui s’est passé : elle est déjà partie.