Avec le décalage horaire, nous n’avions que peu de temps pour papoter. J’allais partir travailler d’ici une demi-heure, mais j’essayai quand même d’appeler. Je savais qu’elle était seule, en pleine séance de yoga. Mais mon côté lesbienne dominatrice me démangeait trop.
« Hey, bonjour pincesse ! ». La voix de Clémentine retentit dans ma chambre d’hôtel.
« Salut ma chérie, ça fait du bien de t’entendre ! »
« À qui le dis-tu ! Je viens de finir une séance de sport, j’allais à la douche. Ça va toi ? »
« Oui, je pars bientôt au boulot. Par contre, tu ne peux pas me dire que tu vas à la douche sans me montrer ! »
Je l’entendis rire et elle brancha la vidéo. Moulée dans son justaucorps, le corps couvert de sueur, elle était superbe.
Cela faisait un mois maintenant que j’étais à l’étranger, et le temps se faisait long. La voir comme ça réveilla mes envies.
« Cale la caméra et prend ta douche« , lui ordonnais-je.
Nous aimions beaucoup les jeux de domination, aussi obéit-elle sans discuter. J’avais toujours aimé pervertir les jeunes filles. Je la vis se savonner le corps langoureusement, se caressant les seins, l’entrecuisse. La garce !
Elle arrêta l’eau et vint se mettre face au téléphone.
« Tu sais comment m’exciter, hein ? » lui demandais-je. « Mais je suis sûre que ça t’a fait de l’effet aussi… Montre moi ! »
Elle approcha le viseur de ses parties intimes, écarta ses lèvres avec ses doigts, et j’eu tout un aperçu de sa chatte déjà mouillée.
« Eh bien ma cochonne, il va falloir t’occuper de tout ça ! Va dans la chambre. », lui dis-je en tant que bonne lesbienne dominatrice.
Montre-moi que tu jouis !
Elle s’exécuta et installa la caméra près du lit, de sorte que je puisse tout voir.
« Couche toi sur le dos, écarte les cuisses et montre-moi de quoi tu as envie… »
Elle obéit et commença à se masturber. Je voyais ses pointes de seins se tendre au fur et à mesure que son plaisir montait.
« Tu es toute excitée, va donc prendre un jouet. »
Elle sortit du champ de vision et je la vis revenir avec un gode. Trop petit à mon goût.
« Pas celui-là ! » m’écriais-je. « Prends le gros. Si tu le manies bien je te laisserai jouir ce soir, c’est promis. »
Elle me regarda, les yeux remplis de gourmandise, et alla cherche « le » gode. Celui de 8 centimètres. Celui que nous nous échangions lorsque nous étions folles d’envie.
« Mets-toi à quatre pattes et insère le toi. »
Elle s’installa, la croupe tendue vers moi, et commença à s’enfoncer le jouet dans la fente. Tout doucement, inexorablement, le jouet rentrait. Je mourais d’envie de venir le tenir à sa place, lui donner du plaisir à mon tour. J’avais envie de toucher son corps, la caresser tout autour, la lécher.
Elle s’arrêta soudainement.
« Il est gros quand même… »
La lesbienne dominatrice en action
« Je ne t’ai pas demandé ton avis il me semble. Mais je ne suis pas là pour t’aider alors prends du lubrifiant. » Une vraie lesbienne dominatrice ne se laisse pas faire si facilement.
Elle revint avec le tube, étala généreusement le gel sur le jouet et reprit l’insertion du mastodonte.
« Encore, » lui soufflais-je. « Plus loin. »
Elle tenait le jouet à deux mains et le rentrait, petit à petit. Elle le faisait tourner, s’élargissant l’orifice, et l’enfonçait. J’avais tellement envie d’y plonger ma main. Le gode était bien rentré maintenant et elle commença les allers et retours. Je l’entendais gémir.
« Plus fort, » l’encourageais-je.
Elle se branlait vigoureusement maintenant, et même son anus s’ouvrait au rythme des pénétrations.
« Encore ! »
Ses mouvements devenaient saccadés, et elle se cambra bientôt dans un violent orgasme. Je la laissai souffler en silence. Il ne me restait que quelques minutes pour me faire jouir à mon tour…