Le téléphone vibra et le SMS indiqua « Chambre 434 ». Je traversai la réception et montai au quatrième étage. La porte de la chambre n’était pas verrouillée, j’entrai doucement. Elle n’était pas là.
Le téléphone vibra de nouveau. « Déshabille toi ». Je m’exécutai en silence et me regardai dans la glace. Mes séances de sport étaient payantes : muscles saillants, j’étais fier de moi. J’étais plutôt bel homme. Il valait mieux d’ailleurs, Madame n’avait pas de scrupules à jeter ses amants lorsqu’elle n’était pas satisfaite.
Nouveau sms « Chambre 401. Dépêche toi ». Chambre 401 ? Je savais qu’il fallait que j’obéisse vite, mais… J’entrouvris la porte et passa ma tête dans l’ouverture. Là-bas, tout au bout du couloir, elle m’attendait. Dans un peignoir en soie noir, cravache à la main. Elle voulait que je la rejoigne. Que je traverse le couloir. Nu. Voilà un bon début de récit femdom.
J’hésitai une seconde de trop. Je la vis pianoter sur son téléphone. Nouveau message. « Si tu ne bouges pas immédiatement, c’est à quatre pattes que tu traverses ». Je ne réfléchis pas plus longtemps et sortit de ma chambre. À pas de loup, sans faire de bruit, je m’avançai jusqu’à elle.
Récit femdom : Elle ordonne, j’obéis
Lorsque j’arrivai son niveau elle fit un signe de tête en direction de sa chambre. Sans un mot. Je rentrai dans la 401 lorsque je sentis une violente brûlure sur mes fesses. La cravache BDSM avait claqué.
« Ne me fais pas perdre de temps la prochaine fois ». Elle murmura dans mon oreille. J’appréciais le son de sa voix, même si nous ne discutions pas. Je n’avais pas le droit de parler.
Elle entra dans la chambre et s’assit sur son lit. Son peignoir laissait entrevoir la courbure de ses seins, et ses tétons pointaient au travers du tissu. J’avais envie de la caresser et de la mordre en même temps.
Elle caressa mon sexe du bout de sa cravache et fit une moue de désapprobation. La traversée du couloir m’avait un peu refroidi, je bandais mou. Elle tapota mon gland, doucement.
« Il va falloir remédier à ça et vite, je n’ai pas le temps de te punir ce soir. Montre-moi que tu peux être efficace ! ».
D’une main, je commençai à me branler, imaginant son corps nu pour m’aider. Son cul surtout… Territoire ô combien préservé.
Ne jouis pas
« J’ai envie d’une bite grosse, dure, performante. Mais visiblement, ce n’est pas pour toi… ». Elle se mit à genoux devant moi, les lèvres à quelques millimètres de mon gland. Sans me toucher. Je sentais son souffle sur ma peau, mais je savais qu’elle ne me lècherait pas. Je ne le méritais pas ce soir.
« Eh bien voilà, quand tu veux ». Mon sexe avait repris sa taille optimale. Elle s’installa à quatre pattes au bord du lit, le cul tendu devant moi.
Elle s’inséra deux doigts qu’elle ressortit dégoulinants et les essuya sur son clitoris, sa fente, son anus.
« Pénètre-moi ».
Je n’allais pas la faire répéter cette fois… Je m’approchai et insérai mon sexe en elle. Doucement, mais sûrement.
« Maintenant, baise-moi. Attrape-moi par les hanches, baise moi fort, fais-moi crier. Mais ne jouis pas ».
C’était cruel. Excitant, mais cruel. Alors, docilement, je la baisai. Son sexe était chaud, humide. Ses seins étaient sortis de son peignoir et ballottaient au rythme de mes coups de reins. J’avais envie de les empoigner. Me contrôler était dur. Plus elle gémissait, plus j’avais envie de me laisser aller en elle. Mais pas ce soir. Je n’en n’avais pas le droit. Elle commença à se caresser le clitoris alors j’accélérai le mouvement, jusqu’à ce qu’elle jouisse dans un orgasme puissant. Peut-être que la prochaine fois j’aurai le droit de la remplir de mon sperme.