Le voisin d’en face, je sais qu’il me mate. La faute à mon appartement, il n’y a pas de volet. La faute à Vincent, mon coloc, qui ne ferme pas les rideaux. N’empêche que. Le voisin d’en face, il me mate. Il est peut-être gay lui aussi. Ce soir, Vincent et moi on a un peu trop bu. Il fait chaud, on est déjà à moitié nus. Je me lève difficilement du canapé pour aller chercher de l’eau, et je trébuche sur la table basse. Bon d’accord, on a peut-être beaucoup trop bu. On rigole comme deux abrutis, et je vais ouvrir la fenêtre pour faire un peu d’air frais. Ca va se transformer en soirée gay exhibitionniste tout ça…
Alors les PD, on baise ?
Vincent s’approche derrière moi et plaque sa verge contre mes fesses. Quand-est-ce qu’il a enlevé son pantalon ? J’ai perdu la notion du temps. Ses mains parcourent mon corps. Je sens ses lèvres sur ma nuque. Il défait ma ceinture, mon jean tombe sur mes chevilles. Il me mord le cou. Je gémis de désir. Un vrai début de soirée sexe.
« Alors les PD, on baise ? ». La voix du voisin retentit dans la rue. Nous levons les yeux et le voyons accoudé à sa rambarde.
« Ouais on baise, t’aimes ça ? » réponds Vincent. Je me retourne face à lui.
« Tu es fou ? Je réponds.»
« Ben quoi ? C’est bien ce qu’on va faire, non ? ».
Il me caresse, m’embrasse. Oui, c’est ce qu’on va faire.
« Mais quand même, il regarde.»
« Eh ben on va lui montrer alors ».
Sexe gay exhibitionniste : Toute la rue profite du spectacle
Il s’agenouille devant moi, prend mon sexe dans sa main. Il me branle, me lèche. Je rigole.
« Le voisin, il voit rien, là ! ». Vincent se relève, sourire aux lèvres. Il prend appui sur le rebord de la fenêtre, plante ses yeux dans ceux du voisin et me dit : « Encule-moi ».
Je passe le doigt le long de sa colonne, jusqu’à son cul. Je le sens frémir. Ma queue est humide de sa salive, je la présente devant son trou… J’insère mon gland, je m’arrête. Il se cambre… Et je rentre. Il lâche un cri, toujours en regardant le voisin.
J’ondule doucement du bassin, mais je sais qu’il veut plus. Je l’attrape par les hanches. Je rentre, je sors. Et encore. Et encore. Qu’est-ce que j’aime ça.
Je le saisis par les cheveux. Il se resserre autour de moi. Plus fort, plus loin. Il se secoue la queue en même temps. Je le baise. Il réclame. « Encore, encore ! ». Je lui laboure le cul et je l’entends hurler de plaisir. Comme tout le monde, d’ailleurs. Il y a des gens en bas. Toute la rue profite du spectacle.
Je vois le jet de foutre jaillir de son sexe, alors je me laisse jouir en lui.
Nous soufflons quelques secondes… Le voisin est toujours là. Je prends délicatement la main de Vincent et je lèche le sperme sur ses doigts.
Je ferme la fenêtre et entraîne Vincent dans la chambre.
L’exhibition est terminée.