Devenir patron aujourd’hui, c’est pas la joie. J’ai 35 ans et ça n’a pas toujours été facile de maintenir mon entreprise à flot. Mais après 5 ans… je commence enfin à mesurer à quel point il est bon d’être chef d’entreprise. Ne pas tromper sa femme est plus difficile…
J’ai 11 employés sous mes ordres dont une secrétaire de direction. Allez, je vous avoue tout… c’est pas le CV qui m’a séduit, c’est ses dix-neuf ans et sa bouche pulpeuse. Les brunes au regard scintillant, je peux simplement pas y résister. Mais bon, je reste raisonnable, je sais bien qu’aujourd’hui avec une main au cul, on peut tout perdre.
Alors je me contiens, je me régale juste des yeux. Et puis ma femme serait pas ravie non plus ! Tromper son copain ou sa copine, ça passe encore, mais sa femme, c’est autre chose. Mais bon, il faut dire que la petite s’habille serrée et que sa taille de guêpe me donnerait bien envie de lui glisser mon dard.
Après, l’inconvénient quand on embauche quelqu’un pour son minois plutôt que ses compétences, c’est qu’après, il y a des ratés. Alors un soir, quand tout le monde était parti, je lui ai dit qu’elle allait devoir reprendre les fichiers clients et bosser tard. Forcément, elle a essayé de négocier. Et moi, je transige pas. En tout cas, pas avant qu’elle trouve les mots qu’il faut :
– Je peux me faire pardonner autrement vous savez.
– Ça, ma petite, c’est à moi d’en juger.
Ne pas tromper sa femme : Difficile dans cette situation
Jamais je l’ai appelée «ma petite» par le passé, mais là, je me sentais un peu pousser des ailes. Je la vois encore. Avec ses talons, qui s’avance vers moi, je l’ai jamais connue aussi audacieuse. Pour les futurs entrepreneurs, un conseil, attendez que ça soit elle qui commence à défaire votre ceinture, que ça vienne d’elle et pas de vous.
Et, devinez quoi. Elle a su se faire pardonner. Avec ses lèvres serrées autour de ma queue, elle a bien mérité les mansuétudes de son patron. Il faut dire qu’elle y a mis du cœur à l’ouvrage à me prendre entièrement en bouche jusqu’à même en avoir les larmes aux yeux. Elle sait se dévouer pour son patron. C’est même pour ça qu’après m’avoir caressé les couilles pendant qu’elle me suçait comme si c’était son métier, elle m’a proposé de pousser les choses un peu plus loin. Mais je tenais à lui rappeler une certaine hiérarchie entre nous deux.
– Demande-le comme il faut
– Est-ce que vous voulez bien me prendre monsieur ?
Voilà une réponse de secrétaire comme je l’aime. Je ne pouvais y répondre que favorablement, surtout qu’elle l’avait formulée à genoux tandis que mon membre était collé contre sa joue rose, non loin de son regard implorant.
Il aura pas fallu attendre longtemps d’ici à ce que je l’affale sur mon bureau. Et, vu que je la sentais très dévouée… je lui ai collé mon gourdin contre son petit trou. Elle a un peu remué au début, mais après avoir dit «non», elle a fini par crier de nombreuses fois «oui» alors qu’elle se faisait enculer pour la première fois.
Je lui ai ouvert son petit cul au passage de ma bite et l’ai ramonée en profondeur. Jusqu’à même la gratifier d’un petit paiement en liquide pour son implication. Elle a tressailli et s’est cambrée comme si elle convulsait, mais elle a fini par reprendre son souffle. C’était la première fois qu’elle subissait l’enculage patronal et à voir son sourire de garçon et son mascara qui coulait, elle avait l’air d’avoir apprécié.
Maintenant, chaque fois que je discute avec elle de « reprendre les fichiers clients », elle rougit. Et elle a bien raison. Parce que j’aime autant vous dire que je compte pas m’arrêter là. Alors si certains hésitent à devenir un jour chef d’entreprise, je pense leur avoir fourni l’argument ultime pour s’y mettre. Foncez ! J’avoue que ça, je compte pas le raconter ce soir à ma femme par contre !