Salut à tous, je m’appelle Amélie, j’ai 24 ans et je vais faire preuve d’une impudeur assez crasse en vous racontant un peu ma vie. Un épisode de cette vie plus précisément. Un épisode dont je ne devrais pas retirer une quelconque fierté mais qui, pourtant, a été si bon que je ne peux juste pas ne pas en parler. Je suis en couple depuis deux ans avec mon mec et il s’est un peu montré distant je trouve ces derniers temps. Ça, je pardonne pas. Je voulais pas le faire cocu, je voulais pas mais il m’y a contraint. Quelque part, c’était de la légitime défense. A découvrir dans mon recit adultere.
Je ne voulais pas tromper mon copain…
C’est pas que je voulais me venger, mais c’est juste qu’il a un ami à lui qui s’est très souvent permis des remarques un peu graveleuses. Toujours sous couvert de plaisanterie, même si je devinais bien qu’il avait une idée en tête. Alors je me suis dit qu’à l’occasion, son idée, y’aurait moyen de la développer au-delà de la simple esquisse.
Je me suis montrée subtile. Il aura fallu qu’on soit en soirée pour que mon plan commence à s’établir comme il se doit. Mon mec a un défaut – en plus de négliger sa copine – c’est de s’assoupir très vite. Il m’en faut pas plus pour commencer à faire des bêtises voyez-vous. Bon après, tromper son copain, c’est pas aussi grave que tromper sa femme ou son mari, si ?!
Chauffer l’ami de mon copain
Quand son pote est allé chercher des boissons dans le frigo qui se trouvait dans le garage, j’ai eu comme dans l’idée de le rejoindre. Je l’ai surpris au début quand il m’a vu entrer et il a eu un autre genre de regard quand j’ai fermé la porte à clé. C’est pas un malin, mais quand il est question de baise, il comprend vite, sans même que j’ai à dire un mot.
Il faut dire qu’en tirant sur mon décolleté, ce qui en est sorti l’a quelque peu encouragé à venir y mettre le nez. Tout ça s’est fait sans un mot hormis les souffles d’extase. A force de me palper les seins et d’y poser ses lèvres puis sa langue, je me suis dit que je pourrais faire encore un meilleur usage de ma poitrine. Après tout, il n’y a pas de mal à se rendre services entre amis.
Me frotter sur sa queue
Il a pas fallu longtemps pour que je lui mette le futal en bas des chevilles. Visiblement enhardi par quelques caresses et autres léchouilles, il avait la queue bien raide et veineuse. C’était si épais, si gonflé, que ça avait l’air de lui faire mal. Alors altruiste comme je suis, j’ai disposé mes deux petits seins autour pour les frotter contre sa bonne grosse vigueur. C’est que ça avait l’air de lui plaisir à voir comme ça frétillait. Alors moi aussi j’ai mis mes lèvres à contribution. Je lui ai juste effleuré le gland d’abord, il a manque de tressaillir.
Alors que je continuais de le branler avec mes seins, j’ai fini par me résigner et enrouler ma bouche autour de son vît. C’était tellement tentant et moi, je suis du genre à céder à la tentation. C’est peut-être pour ça que je trompe mon copain.
Quand j’ai senti que sa queue frétillait un peu trop, j’ai serré les doigts à la base pour empêcher que ça sorte. Il était hors de question qu’il finisse avant que j’exulte. Je me suis levée rapidement, j’ai relevé ma jupe après avoir fait glisser mon string le long de mes jambes et je me suis contorsionnée ce qu’il fallait pour suggérer ce que je voulais.
Il m’a baisée comme une bête
Et je vous prie de croire qu’il y est allé généreusement. Comme une bête désespérée qui agonisait de ne pas avoir pu jouir. La culbute y a été franche et brutale pendant que je me tenais debout au mur. Il m’a bien remuée en dedans jusqu’à ce que ma vulve crache tout le bonheur que j’éprouvais de me faire prendre.
Il lui restait plus qu’à finir sur mon petit cul que je recouvrais de ma jupe après avoir essuyé. Et sans un mot, encore, je me rhabillais avant de retourner à la fête comme si de rien était. Le pauvre a été tellement chamboulé qu’il a oublié les bières qu’il était venu chercher.
Un bon conseil messieurs. Si vous voyez qu’une demoiselle en détresse n’est plus considérée par son mec, essayez un geste osé. La récompense pourrait s’avérer particulièrement savoureuse. Moi en tout cas, j’ai pas boudé mon plaisir.