Infirmière nue : La nuit de garde

Cette nuit-là, c’était Éric à l’accueil de l’hôpital. Le charmant Éric. Le début de nuit avait été un peu agité après l’arrivée d’une ambulance, et la pression retombait peu à peu. Les collègues étaient partis manger ou fumer, il ne restait pas grand monde. Le moment me paraissait bien choisi pour enlever ma culotte

Je vins m’asseoir sur son bureau, les jambes croisées.

– Enfin un peu de calme !

– Oui, répondit-il. On ne s’ennuie pas ici.

– Oh tu sais, les infirmières on plein d’idées pour passer le temps.

– Ah oui ? Du genre ?

Il affichait déjà son sourire charmeur que j’aimais tant. Je décroisai les jambes, laissant apparaître ma fente dénudée, et répondit :

– Des activités en duo par exemple ?

Il fit glisser sa main le long de ma cuisse, relevant ma blouse. Lui et moi savions que nous n’avions que peu de temps, aussi il n’hésita pas. Son doigt se posa sur mon clitoris, tâtant le terrain. Des frissons parcoururent mes jambes. Un classique du récit libertin 😉.

– Ça ne va quand même pas glisser tout seul, murmurais-je.

– Aide-moi alors ? me dit-il en glissant son doigt sur mes lèvres.

Je léchai son index puis le pris dans ma bouche pour bien l’humidifier. Il le retira pour l’insérer dans ma chatte, déjà toute mouillée de désir.

– Je mettrai bien autre chose dans ta bouche…

On entendit la porte claquer, aussi je me relevai rapidement.

– À tout à l’heure, lançai-je en m’éloignant.

Infirmière nue sous la blouse

J’étais particulièrement bien échauffée maintenant. Je m’isolai donc dans la salle de repos et sortit mon téléphone. Je savais que quelques petites photos allaient le faire rappliquer vite fait. Je m’assis sur le lit, écartai les jambes et pris un premier cliché. Le résultat était plus que satisfaisant : mon clitoris était gonflé, luisant de cyprine.

Sa réponse fut immédiate : « Et tes seins ? Ils sont gonflés aussi ? ». Je me déshabillai, enlevai mon soutien-gorge et remis ma blouse, sans la boutonner complètement. Je lui envoyai une nouvelle photo : on voyait juste la naissance des seins, sans les tétons, mais on voyait clairement que j’étais nue sous ma blouse. Je légendai : « Je ne sais pas, viens me dire ? ».

Il ne mit pas longtemps à arriver. J’étais toujours cuisses écartées quand il rentra. Il ferma à clé et vint s’allonger sur moi. Il glissa sa main sous ma blouse, pinça un de mes tétons.

– Tendus comme j’aime, murmura-t’il dans mon oreille.

Il s’installa alors à genoux au-dessus de mon visage et caressa mes lèvres du bout de son gland. Je le léchai puis ouvris grand la bouche pour le sucer, comme la bonne infirmière nue que j’étais.

Il redescendit sur moi et glissa son sexe dur entre mes jambes. Il me pénétra quelques fois, puis je passai mes jambes sur ses épaules.

– Il faut faire vite avant de nous faire prendre ! lui dis-je en haletant.

Alors, soulevant mon bassin il me pilonna à grand coups de reins jusqu’à se déverser en moi. Il resta au-dessus de moi, reprenant son souffle, pendant que je me caressai jusqu’à me faire jouir. Il nous fallût quelques instants quand même pour reprendre nos esprits, mais une sirène sonnait eu loin, sonnant la fin des festivités… jusqu’à la prochaine garde !

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